"Le
premier à dégainer fut IBM. Il concluait à une hausse de 6% des projets
d’investissements étrangers en 2011 et de 13% de l’emploi généré par ces
projets. Son confrère Ernst & Young estimait, lui, que les investissements
étrangers avaient au contraire légèrement baissé en 2011, entraînant un recul
de 10% du nombre d’emplois créés. Il recensait 3.600 emplois quand IBM en
annonçait plus de 5.500!
Une
constante dans les deux baromètres: une hausse en Wallonie et à
Bruxelles pour un tassement en Flandre. Celle-ci reste toutefois de loin
la région qui attire le plus de projets d’investissement étrangers. Les
deux consultants constatent une baisse du nombre de projets venus des
Etats-Unis (qui restent toutefois le premier investisseur étranger en
Belgique) et une montée de l’Asie.
Une
constante dans les deux baromètres: une hausse en Wallonie et à Bruxelles pour
un tassement en Flandre. Celle-ci reste toutefois de loin la région qui attire
le plus de projets d’investissement étrangers. Les deux consultants constatent
une baisse du nombre de projets venus des Etats-Unis (qui restent toutefois le
premier investisseur étranger en Belgique) et une montée de l’Asie."
Le
premier à dégainer fut IBM. Il concluait à une hausse de 6% des projets
d’investissements étrangers en 2011 et de 13% de l’emploi généré par
ces projets. Son confrère Ernst & Young estimait, lui, que les
investissements étrangers avaient au contraire légèrement baissé en
2011, entraînant un recul de 10% du nombre d’emplois créés. Il recensait
3.600 emplois quand IBM en annonçait plus de 5.500!
Le
premier à dégainer fut IBM. Il concluait à une hausse de 6% des projets
d’investissements étrangers en 2011 et de 13% de l’emploi généré par
ces projets. Son confrère Ernst & Young estimait, lui, que les
investissements étrangers avaient au contraire légèrement baissé en
2011, entraînant un recul de 10% du nombre d’emplois créés. Il recensait
3.600 emplois quand IBM en annonçait plus de 5.500!